Danseurs


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Sébastien Dumont

Après des études en sport, il s’initie à la danse contemporaine en 2004 et se perfectionne comme interprète auprès de chorégraphes tels que Edilson Roque (2008), Santiago Sempere (2009), Radouhane El Meddeb (2011). Parallèlement il se forme en vidéo (montage/cadre/réalisation) et collabore sur des projets où danse et vidéo interagissent, notamment avec la " Cie Mobilis Immobilis " (vidéo interactive), et depuis 10 ans avec le Théâtre de l’Estrade. Il développe son propre travail en tant que vidéaste et chorégraphe au sein de la « Cie Pixels en scène » depuis 2009, et depuis 2016 dans le collectif « La Fonderie » – Pôle de création artistique de Fontenay–sous–bois.

Photo © Christine Coquilleau


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Audrey Evalaum

Qu’il s’agisse des voies du corps dansé, parlant ou des textes mêmes, entre traditions et modernités, elle s’intéresse à l’écriture de la présence. Elle se forme très tôt à la danse classique puis contemporaine, travaille avec A. Garrigues, M. Coquil puis avec L. Nett, qui la pousse à créer sa compagnie jusqu’en 2003 : Les Meidosemmes, empruntant les principes d’hybridation d’Henri Michaux. Elle participe aux chorégraphies de P. Deloche, est la tenancière de J. S. Bieth pour la Biennale d’Art Contemporain de Lyon, danse pour Image ensevelie de L. Rosenberg, Micadanses et intervient comme chorégraphe pour Jaz de K. Kwahulé, mis en scène par D. Farjon au Théâtre de Vanves. Parallèlement, elle se formera aux arts de l’acteur, d’abord à Villeurbanne puis rencontre E. Macocco, E. Morsilli, E. Chailloux, M. Louarn, L. Kheifetz, A. Mnouchkine, V. Rybacov, S. Lastreto… Entre les rôles classiques et contemporains qu’elle interprète (Les fourberies de Scapin, Les Liaisons dangereuses, Mademoiselle Else, Quartett…), elle poursuit sa formation universitaire par un master 2 en Théories et pratiques du langage et des arts à l’EHESS de Paris et en 2011 assiste les élèves de première année du CNSAD de Paris. En 2012, elle découvre le travail de M. Matsuura et devient l’une de ses ferventes disciples pour la pratique des arts du Nô, du sabre et de l’Aïki. Elle obtient son premier Dan en 2016 et devient son assistante pour ses conférences à la Maison de la Culture du Japon de Paris, et diverses masterclass à l’étranger. Ils réalisent Dix Ans, Yoha, résonance au Carreau du Temple à Paris, et sera l’une des muses pour un Hommage à l’après–midi d’un faune au Théâtre des Champs–Elysées. Depuis 2017, elle retourne sur une scène résolument plus théâtrale et continue ses réflexions comme comédienne, performeuse, chorégraphe à travers différents partenariats avec Les Compagnies En Plein Choeur, La Louve Aimantée, ou la Cie Double Six.

Photo © Christine Coquilleau


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Mathilde Rance

Musicienne et danseuse, Mathilde Rance se forme au CNR de Boulogne‐Bilancourt avant de rejoindre le cursus FAC du CNDC d’Angers/Emmanuelle Huynh. Elle y rencontre le travail de Loïc Touzé, Fanny De Chaillé, Sylvain Prunenec, Faustin Lynyekula et Kô Murobushi. A sa sortie elle rejoint en tant qu’interprète, une collaboration entre Nathalie Pernette et la cie Oposito, spécialiste dans le spectacle de rue, et rejoint l’équipe du Sacre#2 de Dominique Brun. Elle danse par la suite pour Jody Etienne, Anatoli Vlassov, Cyril Heriard Dubreuil, Wendy Beckett et Meryl Tankard, parallèlement elle se forme en clown auprès d’Eric Blouet et renforce sa pratique de la harpe celtique. Elle développe également son propre travail chorégraphique autour de projets hybrides en lien fort avec différents territoires, dont l’Andalousie, l’Algérie, la Tunisie, le Burkina Faso et Mayotte. Depuis 2017 elle participe activement à différents projets pédagogiques dont DÉMOS en Beauvaisis, Melting’Pots à l’Apostrophe – Scène National Cergy–Pontoise & Val d’Oise, In Situ avec le Département de Seine–Saint–Denis et le CND Pantin, Bouture d’un sacre avec le CCN d’Orléans et Les deux Scènes – Besançon, Dix mois d’Ecole et d’Opéra avec l’Académie de l’Opéra de Paris, Création en cours – Ateliers Médicis hors les murs à Mayotte. En 2019 elle intègre la formation de recherche et de composition chorégraphique Prototype VI de la fondation Royaumont.

Photo © Christine Coquilleau